Autoportrait symbolique que Claudio Isgrò retrouve dans une ancienne citerne d’eau à Sigean. Dans le silence et dans l’absence-présence de l’eau qui a laissé ses traces partout, l’artiste photographie la lumière et met en scène l’ombre. Comme un archéologue, il remonte le temps à travers les strates de pigments, mémoire de la rencontre entre la terre et l’eau.